Dix jours après la tuerie de Nice, autorités et opposition continuent de s'entredéchirer sur la question de la sécurité le soir du 14 juillet. Lancée dès le 15 juillet par Christian Estrosi, la polémique a pris un nouvelle tournure ce dimanche après la publication dans le JDD de l'interview d'une policière municipale responsable de la vidéosurveillance.
Sandra Bertin, cheffe du Centre de supervision de Nice (CSU) en poste le soir de l'attaque, explique que le ministère aurait fait pression sur elle en lui dictant le contenu de son compte-rendu. Des accusations démenties par la place Beauvau mais soutenues par la municipalité de Nice. Et d'un côté comme de l'autre, la communication a manqué de transparence.
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