«Depuis quelques jours», raconte Le Monde, le chef de l’Etat songerait à la défaite et à l’après-Elysée. «En cas d'échec, j'arrête la politique. Oui, c'est une certitude», expliquerait-il à son entourage.Brice Hortefeux, cité par les journalistes, rapporterait ainsi ces propos de Nicolas Sarkozy: «En tout cas, je changerai de vie complètement, vous n’entendrez plus parler de moi!»
Nicolas Sarkozy jugerait: «De toute façon, je suis au bout. Dans tous les cas, pour la première fois de ma vie, je suis confronté à la fin de ma carrière», rapporte le quotidien. A Brice Hortefeux, Nicolas Sarkozy aurait également confié que, s’il était battu, il terminerait sa carrière politique, jugeant qu’il n’est «pas un dictateur» accroché à son siège.
Il aspirerait à une vie «plus agréable» en cas de défaite, rapporte Brice Hortefeux. «Je peux voyager, prendre des responsabilités, commencer mes semaines le mardi et les finir le jeudi soir! Franchement, ça ne me fait pas peur», aurait déclaré le promoteur du «travaillez plus pour gagner plus».
A propos de monnaie sonnante et trébuchante, Nicolas Sarkozy, «qui n’a jamais caché son goût de l’argent», souligne l’article, a lancé lors du dernier G20 à Cannes en novembre dernier à propos des rémunérations des banquiers: «Moi aussi, dans le futur, je voudrais gagner de l'argent.»
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